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Empreinteset Arts réunit des professionnels des arts et de la psychanalyse, dont certains animent des ateliers d'arts plastiques à l'hôpital, en hôpitaux de jour, en CATTP, dans des clubs extra-hospitaliers. Empreintes et Arts a pour but d'aider ceux qui fréquentent, ou ont fréquenté, des ateliers d'arts plastiques, à promouvoir leur travail artistique hors de l'enceinte psychiatrique. Nousrendons l'accès à Église Saint-Ephrem plus facile, c'est pourquoi plus de 930 millions d'utilisateurs, y compris les utilisateurs de Paris, ont choisi Moovit comme la meilleure application de transports en commun. Vous n'avez plus besoin de télécharger des applications pour les bus et/ou pour les trains, Moovit est votre application de transport tout-en-un qui vous aide à Stagiaire- Hôpital de jour Centre René Capitant - Paris - Accompagnement psychologique jeunes adultes. 2003 - 2004. Stagiaire - Clinique des Maladies Mentales et de l'Encéphale (CMME) - Paris - Entretiens diagnostiques. 2002 - 2003. Stagiaire - Centre Médico-Psychologique (CMP) Jemmapes - Paris - Accompagnement psychologique des enfants . Travaux et publications. CentreRené Demogue, réalisé à Lille, le à l'occasion de la réunion du groupe français de l'Association Henri Capitant, dans sa séance du 8 décembre 1945, sous la présidence du professeur Niboyet et comptant avec la présence des plus importantes juristes de l'époque : les professeurs Boulanger, Rouast, Esmein, Solus, Henri Mazeaud, Ancel, René et Capitant, MissionHôpital de jour. Nous avons une longue expérience des traitements des troubles psychologiques importants de l’adolescence. Agés de 13 à 20 ans les jeunes, au nombre de quarante, poursuivent leur scolarité au sein de l’établissement tout en ayant la possibilité de bénéficier des différents traitements psychologiques et Site De Rencontre Gratuit Dans Le 05. Tribune pour la clinique de La Chesnaie Vers une société coopérative en psychiatrie SCIC Nous signons cette tribune pour soutenir les soignants de la clinique psychiatrique de La Chesnaie Loir-et-Cher, qui veulent protéger l’indépendance et les méthodes de leur lieu de travail en reprenant l’entreprise sous forme de Société Coopérative d’Intérêt Collectif SCIC. La clinique de La Chesnaie est actuellement mise en vente par le Médecin-Directeur Jean-Louis Place, qui a fait appel au cabinet d’affaires La Baume Finance pour organiser l’appel d’offre. Le projet de coopérative soutenu par 80% de l’équipe soignante et médicale, est actuellement en concurrence dans un appel d’offre face à des groupes, associations ou fondations qui ne pratiquent pas les méthodes issues du mouvement de la psychothérapie institutionnelle. L’équipe soignante refuse tout repreneur extérieur, et sera en mesure de finaliser son offre ferme à la fin du mois d’octobre. Cette reprise sous forme de Coopérative permettrait de préserver le sens que les soignants mettent dans leur travail et d’offrir à la clinique des possibilités financières rassurantes pour engager des travaux de rénovation et recruter de nouveaux personnels dans les prochaines années. L’équipe médicale actuelle soutient le projet et sera renforcée si la coopérative voit le souhaitons que les soignants puissent aller jusqu’au bout de leur projet, avec tous leurs partenaires. Une clinique de Psychothérapie Institutionnelle en vente Depuis sa création en 1956 la clinique de La Chesnaie est un lieu de soin emblématique. Elle est identifiée et reconnue nationalement depuis plus de 65 ans comme accueillant la singularité des personnes en souffrance psychique. Aujourd'hui, le médecin-directeur souhaite quitter ses fonctions et vendre la clinique. Le collectif des soignants s’est mobilisé en créant l’association Les de La Chesnaie pour défendre une reprise en interne. L’analyse institutionnelle, la psychanalyse, la phénoménologie psychiatrique, la fonction de décision partagée dans le collectif entre soignants, mais aussi avec les soignés, sont autant de référentiels qu’ils veulent préserver. Une organisation du travail qui lutte contre l'aliénation La Chesnaie est un espace ouvert, un "petit village" où le vivre ensemble au sein de l'institution met sans cesse au travail l'aliénation psychique tout autant que l'aliénation sociale. En effet, les soignants et les soignés réalisent ensemble les tâches de la vie quotidienne cuisine, service de table, ménage, etc.. Cette organisation des soins et du travail a pour vocation de lutter contre les aspects les plus négatifs de l’aliénation sociale l'effacement de la personne derrière son statut, sa fonction, l'assujettissement et les non-dits liés à la hiérarchie. Les soignants sont amenés à changer de poste régulièrement. Cette transversalité et cette polyvalence dans les gestes du quotidien contribuent à questionner les habitudes et à soigner l’ambiance institutionnelle. L’idée étant de favoriser des rencontres, déjouer des routines enkystées. Le Club thérapeutique et le réseau d'associations restaurant du Train Vert, crèche parentale, ÉPIC École de Psychothérapie Institutionnelle de La Chesnaie en relation étroite avec la clinique sont de véritables passeurs entre la Cité et La Chesnaie. Ce dispositif associatif renforce la libre circulation des soignés, des soignants, et rend possible et souhaitable la venue de personnes extérieures concerts ouverts au public, fêtes, résidence d’artistes, etc. Meilleur rempart contre l’ostracisme et les idées reçues. L’évidence d'une SCIC La reprise collective de cette institution sous forme coopérative est le meilleur dispositif pour préserver les moyens humains et la dynamique créative de l’équipe soignante. La SCIC permet une vie démocratique au sein de l’entreprise qui prolonge l’organisation collégiale qui existe déjà. Elle est constituée de plusieurs catégories de sociétaires soignants, représentants des bénéficiaires et partenaires extérieurs qui peuvent tous participer aux orientations stratégiques de l’entreprise. Il s’agit aussi d’un modèle économique plus éthique où le pouvoir ne revient pas aux actionnaires majoritaires mais se voit réparti entre les sociétaires 1 sociétaire égale 1 voix, quel que soit l'apport financier de chacun. De plus, la majorité des bénéfices est affectée à la pérennisation de la structure et à la préservation de l'emploi. La SCIC permet en outre de faire entrer au capital social des institutions alliées, des collectivités territoriales, des sympathisants, des acteurs sociaux et culturels afin de construire des partenariats durables. Le mouvement coopératif est vecteur de nouveauté, de progrès social en ceci qu'il n'est pas enfermé dans une logique d'appropriation individuelle. Le multisociétariat de la SCIC permet à la fois de construire ensemble l’intérêt collectif, mais aussi de pérenniser l’entreprise et le lieu de soin sur du très long terme, en évitant les crises liées aux successions. Ce que nous défendons Les logiques de rentabilité et de gestion managériale dans le champ de la santé depuis plusieurs dizaines d'années conduisent notre système de santé à un état catastrophique. Le manque de moyens dégrade les conditions de travail, d'accueil et de soin. La protocolisation et l'homogénéisation des pratiques, entraînent une perte de sens, un sentiment d'impuissance et entravent la créativité nécessaire à l'accueil de la folie. Les soignants de la clinique sont conscients de la chance qu’ils ont de travailler dans une clinique à taille humaine. Depuis sa création il s’y développe une culture chesnéenne que beaucoup considèrent comme un bien commun, qu’ils veulent protéger. Ils veulent continuer à créer des rencontres, des liens qui libèrent, donner le temps et les moyens nécessaires à chacun pour se soigner, s'orienter et créer sa circulation dans la cité. C’est à juste titre qu’ils s’inquiètent de l’arrivée d’un acheteur extérieur. Aucun groupe, association ni fondation ne peut garantir le maintien de cette culture soignante et des pratiques qui en découlent. Le projet de reprise des salariés et des médecins s'inscrit dans la continuité et le déploiement des fonctionnements collectifs déjà à l'œuvre dans la clinique. Leur projet de SCIC semble donc tout à fait en accord avec une actualisation des enjeux de la Psychothérapie Institutionnelle au XXIème siècle. En signant cette tribune, nous défendons une psychiatrie artisanale respectueuse de la subjectivité des soignés et des soignants, autant sur le plan individuel qu’à l’échelle collective Plus d'informations Institutions signataires FFPP Fédération Française des Psychologues et de Psychologie CEMÉA France Centres d’Entrainement aux Méthodes d’éducations Actives SNP Syndicat National des Psychologues USP Union Syndical de la Psychiatrie L’Appel des Appels Le Printemps de la Psychiatrie HumaPsy Les convivialistes » autour de la Revue du MAUSS Le Réseau National des psychologues FIAC Fédération Inter-Associations Culturelles La Devinière, lieu de soin en Belgique Signataires Edgar Morin, Sociologue, Philosophe, Directeur de recherches émérite au CNRS, Docteur Honoris Causa de nombreuses universités à travers le monde Jacques Lang, Ancien maire de Blois, Ancien Ministre de la Culture et de la Communication, Ancien ministre de l’Éducation Nationale, Président de l’Institut du Monde Arabe Christophe Dejours, Directeur scientifique de l’Institut de Psychodynamique du travail IPDT, Professeur émérite de l’Université Paris-Nanterre Pr Pierre Delion, Psychiatre, Professeur des Universités-Praticien Hospitalier PU-PH émérite en pédopsychiatrie à l'Université Lille-II, Psychanalyste Vincent De Gaulejac, Sociologue, Professeur émérite de sociologie clinique à l'Université Paris-Decartes et Université Paris-Diderot, Docteur Honoris Causa à l’Université Nationale de Rosario en Argentine UNR Pr Marie-Rose Moro, Pédopsychiatre, Professeure de l’Université Paris Cité, Cheffe de service de la Maison de Solen, Maison des adolescents de l’hôpital Cochin AP-HP, Directrice de la revue transculturelle L’autre, Membre de l’Institut universitaire de France Roland Gori, Psychanalyste, Professeur émérite de psychologie et psychopathologie clinique à l’Université d’Aix-Marseille René Roussillon, Professeur émérite de psychologie à l’Université Lumière - Lyon 2, Psychologue, Psychanalyste, Membre de la Société psychanalytique de Paris SPP Pr Alain Vanier, Psychiatre, Psychanalyste, Professeur émérite à l’Université Paris Diderot, Ancien Président de l’Espace Analytique Cynthia Fleury, Professeure titulaire de la chaire Humanités et Santé CNAM, et titulaire de la chaire de philosophie du GHU Paris Psychiatrie et Neurosciences Philippe Meirieu, Professeur émérite en sciences de l’éducation et pédagogie à l’Université Lumière - Lyon 2, Docteur Honoris Causa à l'Université Libre de Bruxelles et l'Université de Montréal, Président des CEMÉA France Alain Caillé, Professeur émérite de sociologie à l'Université Paris Nanterre, Cocréateur et Directeur de publication de la Revue du MAUSS depuis sa création Mouvement pour un Anti-Utilitarisme en Sciences Sociales, Cocréateur et Chercheur au laboratoire Sophiapol de l'Université de Paris Nanterre, Animateur du Mouvement des convivialistes Olivier Douville, Psychanalyste, Anthropologue, Maître de conférences des Universités et Directeur de publication de la revue Psychologie Clinique, Membre de l’Espace analytique Renaud Barbaras, Professeur de philosophie contemporaine à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne Patrick Martin-Mattera, Psychologue, Psychanalyste, Professeur Université catholique de l'Ouest à Angers Pr Antoine Pelissolo, Psychiatre, Professeur des Universités-Praticien Hospitalier PU-PH, Chef du service au CHU Henri-Mondor de Créteil et UPEC Dr Jacques Tosquellas, Psychiatre, Ancien chef de service à Marseille, Membre de l'Association méditerranéenne de psychothérapie institutionnelle Pascale Brudon, Ancienne fonctionnaire internationale santé publique à l'OMS Livia Velpry, Maîtresse de conférences, Directrice de recherche en sociologie, Université de Paris 8-Saint-Denis, CERMES3 Centre de Recherche Médecine, Sciences, Santé, Santé Mentale et Société, Université Paris Descartes, EHESS, CNRS Christian Laval, Sociologue en santé mentale, Chercheur associé au Centre Max Weber à l'Université Lumière - Lyon II, Ancien directeur adjoint de l'Observatoire national sur les pratiques en santé mentale ONSMP-ORSPERE, Chercheur associé au Centre de recherche de Montréal sur les inégalités sociales, les discriminations et les pratiques alternatives de citoyenneté CREMIS Dr Jean-Michel De Chaisemartin, Psychiatre, Ancien chef de pôle au Centre Hospitalier de Landerneau Dr Patrick Chemla, Psychiatre, Chef de pôle au Centre Antonin Artaud à Reims Dr Pascal Crété, Médecin Directeur Général du Foyers de Cluny et du Foyer Léone RICHET à Caen Patrick Coupechoux, Journaliste spécialiste de la psychiatrie, notamment dans Le Monde diplomatique Patrick Faugeras, Psychanalyste, Traducteur, Auteur de nombreux ouvrages sur le mouvement de la Psychothérapie Institutionnelle Dr Mathieu Bellahsen, Psychiatre, Ancien chef de pôle à l'unité d'Asnières de l’hôpital Roger-Prévot-de-Moisselles, Co-auteur de "La révolte de la psychiatrie, les ripostes à la catastrophe gestionnaire" Gladys Mondière, Présidente de la Fédération Française de Psychologie FFPP Delphine Glachant, Psychiatre au centre hospitalier Les Murets, Présidente de l’USP Senja Stirn, Dr ès Psychologie, Présidente du Réseau des psychologues Pr Jean Naudin, Professeur de psychiatrie à l’Université de la Méditerranée et Chef de service au CHU Sainte-Marguerite à Marseille Dr Serge Hefez, Psychiatre des Hôpitaux à la Pitié-Salpêtrière Dr Jean-Pierre Klein, Directeur de l'Institut National d'Expression, d'Art et Thérapie, Psychiatre honoraire des Hôpitaux de Paris Dr Emmanuel Venet, Psychiatre, Ancien psychiatre à l’Hôpital du Vinatier à Lyon, Auteur du livre Manifeste pour une Psychiatrie artisanale » Françoise Cloarec, Psychologue et écrivaine Dr Paul Machto, Psychiatre honoraire des Hôpitaux, Ancien Président de l’Union Syndicale de la Psychiatrie Membre fondateur du Collectif des 39 Clémentine Rappaport, Pédopsychiatre, Cheffe du service pédopsychiatrique du Centre hospitalier intercommunal Robert Ballanger à Aulnay-sous-Bois Dr François Bonnal, Psychiatre, Ancien chef de service du CÉSAME à Angers Dr Philippe Bichon, Psychiatre à la clinique de La Borde, Membre du Collectif des 39 Dr Frank Drogoul, Psychiatre, Responsable pédagogique du Diplôme Universitaire DU de Psychothérapie Institutionnelle à l'Université Paris-Diderot, Rédacteur en chef de la Revue Institutions, Pierre Johan Laffitte, Sémioticien, Maître de Conférences, Directeur de Recherches, Responsable pédagogique du DU de Psychothérapie Institutionnelle à l'Université Paris-Diderot, Dr Alain Abrieu, Psychiatre des hôpitaux au Centre Hospitalier Édouard Toulouse à Marseille, Membre de l'AMPI Association Méditerranéenne de Psychothérapie Institutionnelle Madeleine Alapetite, Présidente de la Fédération inter-associations culturelles FIAC, Ancienne cadre de santé Marie-Odile Supligeau, Membre du comité de rédaction de la Revue Institutions Eric Elsener, Docteur en philosophie, Psychanalyste, praticien du travail social Dr Béatrice Benattar Zerbib, Psychiatre au Centre René Capitant à Paris Dr. Pascal Legris, Psychiatre, psychothérapeute Jacques Borgy, Ancien secrétaire général du SNP, Actuel secrétaire de la commission déontologie, Adjoint à la rédactrice en chef de la revue Psychologues et Psychologies Nicolas Philibert, Cinéaste, Réalisateur de La Moindre des choses » Linda De Zitter, Psychologue clinicienne, Psychanalyste Catherine Dolto, Haptothérapeute, écrivaine Dr Caroline Eliacheff, Pédopsychiatre, Psychanalyste Marie-Magdeleine Lessana, Psychanalyste, Ancien membre de l’EFP École Freudienne de Paris actuellement membre de l’École Lacanienne de Psychanalyste. Auteur de Entre mère et fille un ravage » Charlotte Dudkiewicz-Sibony, Psychologue clinicienne, Psychanalyste Jean-Claude Casadesus, Chef d'orchestre, Fondateur de l’Orchestre National de Lille Michel Thévoz, Ancien Directeur de la Collection de l’Art Brut de Lausanne Suisse Sébastien Delot, Directeur-conservateur au LaM, Lille Métropole Musée d'art moderne, d'art contemporain et d'art brut, Villeneuve d’Ascq Lucienne Peiry, Historienne de l’art, Art Brut et Outsider Art, Ancienne conservatrice du Musée d’art brut de Lausanne Françoise Monnin, Rédactrice en chef de la Revue Artension Martine Lusardy, Directrice du musée de la Halle Saint-Pierre à Paris Françoise Adamsbaum, Directrice du MIAM, le musée de Hervé Di Rosa à Sète Fabienne Servan-Schreiber, Productrice de cinéma Anouk Grinberg, Comédienne et autrice de Et pourquoi moi je dois parler comme toi ? » Martine Deyres, Cinéaste, réalisatrice des films Les Heures Heureuses » archives de l’asile de Saint-Alban, avec le soutien de la Collection de l’art brut et le LaM, et Le sous-bois des insensés » avec Jean Oury Marc Gricourt, Maire de Blois, Premier Vice-Président de la Région Centre Val de Loire, ancien infirmier, Président de la FHF centre val de Loire fédération hospitalière française Delphine Benassy, 5e vice-Présidente de la Région Centre Val de Loire, Déléguée à la Culture et à la coopération internationale Pauline Braillon-Bobin, Directrice de L’École expérimentale de Bonneuil CERPP Centre d’Études et de Recherches Pédagogiques et Psychanalytiques, Secrétaire Générale du CIDE Dominique Daue, Directeur de la Devinière à Charleroi Belgique Michel Boutin, Psychanalyste, Président de Psychanalyse et Anthropologie, Ancien secrétaire du Jardin Couvert, structure Dolto, à Lyon Dr Michèle Loucel, Médecin généraliste, Protection Maternelle et infantile, Ancienne accueillante au Jardin Couvert Claire Rainaut, Psychologue clinicienne à Lyon, Membre du Jardin Couvert Dr Chantal Lamouille, Pédopsychiatre Dr Catherine Soulet, Psychiatre Marie-José Saliou, Psychologue clinicienne Dr Jacqueline Boulanger, Pédiatre retraitée Dr Monique Thizon, Psychiatre honoraire des hôpitaux, Psychanalyste Lise Gaignard, Psychologue du travail, Psychanalyste, Spécialiste de la souffrance au travail, autrice du livre Chroniques du travail aliéné » Juliette Planckaert, Psychologue retraitée des hôpitaux psychiatriques Anne-Marie Haas, Médecin Psychiatre à la clinique de La Chesnaie Magali Verdonk, Médecin Psychiatre à la clinique de La Chesnaie Bastien Poignant, Médecin Psychiatre à la clinique de La Chesnaie Milieu universitaire et scientifique Bruno Giros, PhD, Directeur de recherches au CNRS, Chaire de recherche du Canada pour la Neurobiologie des troubles mentaux, Chaire Graham Boeckh de recherche sur la schizophrénie, Professeur titulaire au Département de psychiatrie à l'Université McGill Marika Nosten-Bertrand, PhD CNRS, Institut du Fer à Moulin - Développement cortical et pathologie, Inserm Université Sorbonne Frédéric Lordon, Philosophe, Économiste, Chercheur au Centre de sociologie européenne CSE, Directeur de recherche au CNRS Benjamin Coriat, Économiste, Professeur émérite de sciences économiques à l’Université Paris XIII, Membre du CA du collectif des Économistes Atterrés Pierre Dardot, Philosophe, Chercheur au laboratoire Sophiapol de l'Université de Paris Nanterre Fabienne Orsi, Économiste, Chercheuse à l'Institut de Recherche pour le Développement Jean Pierre Durif-Varembont, Psychanalyste, Maître de conférences, Directeur de recherches émérite au CRPPC à l'Université Lumière - Lyon 2 Alexandre Levy, Psychologue, Psychanalyste, Maître de conférences à l’Université catholique de l'Ouest à Angers Héloïse Haliday, Maître de conférences en psychologie clinique et psychopathologie à l’Université de Bourgogne, Chercheuse au Laboratoire Psy-DREPI Marc Humbert, Professeur en économie politique à l’Université de Rennes 1, Directeur Institut Recherches sur le Japon Contemporain Michel Broué, Professeur émérite à l’Université Paris Cité, Membre de l’American Academy for Arts and Sciences Jean-François Rey, Philosophe, Administrateur de Citéphilo et des Semaines Européennes de la Philosophie David Ryboloviecz, Directeur adjoint aux CEMÉA pour la santé, la psychiatrie et l'intervention Sociale Rozenn Caris, Rédactrice en chef de la Revue VST - Vie Sociale Traitement, Chargée de mission sur le travail social, santé, psychiatrie, Association Nationale des CEMÉA Jean-François Gomez, Chercheur en travail social et formateur Monde de l’Art brut et de la culture Savine Faupin, Conservatrice en chef en charge de l’art brut au LaM, Lille Métropole Musée d'art moderne, d'art contemporain et d'art brut, Villeneuve d’Ascq Christophe Boulanger, Attaché de conservation au LaM, Lille Métropole Musée d'art moderne, d'art contemporain et d'art brut, Villeneuve d’Ascq Katia Furter, Chargée projets et développement Fondation Guignard - Outsider Art Nyon, Lausanne Suisse Antonio Saint-Silvestre, Co-créateur de la collection Treger/Saint-Silvestre à Sao Joào da Madeira Portugal Richard Treger, Co-créateur de la collection Treger/Saint-Silvestre à Sao Joào da Madeira Portugal Francine Danchin, Ortophoniste retraitée, Responsable des archives de l’historien en art brut Laurent Danchin Bernadette Grosyeux, Présidente d’égart, pour un égal accès à l’art Sandra Lucbert, Écrivaine, auteure de Personne ne sort les fusils » Gustavo Giacosa, Commissaire d'exposition et metteur en scène à Aix-en-Provence Francine Auger-Rey, Journaliste documentariste Anne Boissière, Professeure d'esthétique à l'Université de Lille Jean-Louis Courtinat, Photographe collaborant régulièrement avec Les Petits Frères des Pauvres Bruno Montpied, Chercheur indépendant dans les domaines des arts populaires spontanés, Journaliste indépendant, Collaborateur de plusieurs revues spécialisées en art brut Avis Contact Questionnaire Salaire CENTRE RENE CAPITANT Les salaires sur les positions chez CENTRE RENE CAPITANT Cherches-tu un emploi ?Informe l'employeur de ton expérience CENTRE RENE CAPITANT recrute pour des postes secrétaire Responsabilités Exigences Offres actuelles pour le poste Secrétaire médical intéressé par le travail en psychiatrie a... Paris Une secrétaire médical intéressé par le travail en psychiatrie adulte. Expérience en secrétariat médical indispensable. Pour le 01/10/2020. Responsabilités accueil physique et téléphonique des patients, suivi des dossiers papier et informatiques des patients, suivi des dossiers de candidatures à l’hôpital de jour et du foyer, participation aux réunions d’équipe et rédaction de compte-rendu Exigences maitrise des outils bureautiques, vous êtes rigoureux, organisé et souhaitez travailler en équipe, envoyer CV + lettre de motivation en cliquant sur postuler, expérience en secrétariat médical indispensable 8, rue Lanneau-75005 Paris Poste secrétaire 2020-08-20 Salaire dans d'autres entreprises sur le poste secrétaire psychiatre Responsabilités Exigences Offres actuelles pour le poste Une psychiatre, 4 demi-journées par semaine ? H/F Paris Une psychiatre, 4 demi-journées par semaine. Une psychiatre, 4 demi-journées par semaine ? H/F. Le psychiatre assure la prise en charge clinique des? Responsabilités le centre recherche pour son hôpital de jour, à compter de début 2021, le Centre René Capitant gère un hôpital de jour, un foyer de post-cure et un centre médico-psychologique Exigences inscrit au conseil de l'ordre des médecins, inscrit au conseil de l'ordre des médecins, moins de 5 ans, 5 à 10 ans, Plus de 10 ans Poste psychiatre, psychiatre Nous offrons inscrit au conseil de l'ordre des médecins Type de contrat CDI 2020-11-25 Salaire dans d'autres entreprises sur le poste psychiatre comptable Offres actuelles pour le poste CHEF COMPTABLE UNIQUE H/F Paris Comptable expérimenté, vous avez occupé des postes de comptable unique ou chef comptable. UN CHEF COMPTABLE UNIQUE H/F. Le Centre René Capitant recrute Poste comptable 2019-09-05 Salaire dans d'autres entreprises sur le poste comptable logisticien L'entreprise recrute-t-elle pour ce poste ? Quels sont les devoirs ? Exigences pour le candidat ? Que propose l'employeur ? Salaire dans d'autres entreprises sur le poste logisticien chef L'entreprise recrute-t-elle pour ce poste ? Quels sont les devoirs ? Exigences pour le candidat ? Que propose l'employeur ? Salaire dans d'autres entreprises sur le poste chef Les salaires sur les positions chez CENTRE RENE CAPITANT pas de données Position Salaire moyen Salaire de base Salaire maximum Fil d'Ariane Accueil Le Guide hôpitaux et cliniques Pays de la Loire Loire-Atlantique Saint-Herblain Institut de Cancérologie de l'Ouest - site Centre René Gauducheau Boulevard Jacques Monod Itinéraire Membre d'un réseau régional de Cancérologie ONCO PAYS DE LA LOIRE Satisfaction Mesure de la satisfaction des patients hospitalisés enquête e-Satis Chiffres-clés Certification Évaluation externe de la qualité et de la sécurité des soins RCP Proportion de nouveaux patients atteints de cancer ayant bénéficié d'un avis émis en réunion de concertation pluridisciplinaire Taux de recommandation % de patients hospitalisés qui recommanderaient l’établissement à leurs proches Activités soumises à autorisation Cancers digestifs Cancers du sein Cancers gynécologiques Chimiothérapie Radiothérapie Soins palliatifs Équipements lourds d'imagerie médicale IRM Scanner Scintigraphie TEP-Scan À savoir Cliniques de médecine spécialisées Cliniques de médecine spécialisées Centrale de rendez-vous Institut universitaire de santé mentale Hôpital Maisonneuve-Rosemont Allergies et immunologie Cancérologie Cardiologie Centre de gestion de la douleur Centre de jour de diabète Chirurgie générale Chirurgie plastique Clinique d'investigation de médecine interne Clinique d'investigation en pneumologie Dermatologie Endocrinologie Greffe rénale Gynécologie Hémodynamie Insuffisance cardiaque Microbiologie Médecine de jour Néonatalogie Neurologie Néphrologie Obstétrique Ophtalmologie Orthopédie Oto-Rhino-Laryngologie ORL Pneumologie Rhumatologie Pavillon Rosemont Hôpital Santa Cabrini Le centre de médecine de jour offre des soins et services spécialisés nécessitant un temps de traitement, d'investigation ou de surveillance. Le centre de médecine de jour inclut la clinique de traitement des infections la prise en charge des personnes nécessitant une antibiothérapie IV la clinique de soins de plaies complexes Horaire Lundi au vendredi 7 h à 22 h Coordonnées Hôpital Maisonneuve-Rosemont Centre de soins ambulatoires CSA 1er étage, aile jaune Guichet F Téléphone 514 252-3400, poste 1422 Clinique de plaie et CAPA 514 252-3400, poste 1428 Télécopieur 514 251-7097 Itinéraire, stationnement et autres informations Prendre rendez-vous Pour obtenir les services, vous devez avoir une demande d'examen ou d'intervention. Votre médecin acheminera votre demande d'examen ou d'intervention au centre de médecine de jour Par la suite, nous vous contacterons pour vous offrir un rendez-vous. Femmes dans la guerre d'Algérie. Entretien avec Fatma Baïchi Paru dans CLIO, N°9-1999 Djamila AMRANE Table des matières - Entretien en partie traduit de l'arabe dialectal, réalisé en 1980 Entretien réalisé en 1998 Texte intégral - La réalisation d'un entretien est un instant privilégié du travail de recherche de l'historien d'histoire immédiate. Outre le plaisir d'une rencontre avec une personnalité souvent exceptionnelle, il a l'impression enivrante d'être dans les coulisses de l'histoire et d'approcher de la vérité. Derrière l'illusion de la restitution d'un moment de l'histoire il faut retrouver la construction d'une interprétation modelée par le travail de la mémoire » et marqué par l'empreinte chez l'interviewé et l'interviewer de l'évolution de la société. Le témoignage oral est une vision kaléidoscopique juxtaposant du vrai, du vécu, de l'appris, de l'imaginaire » selon l'expression de Joseph Goy1 ou selon celle de Pierre Nora, la sécrétion volontaire et organisée d'une mémoire perdue ». Lorsqu'il s'agit de l'évocation de périodes traumatisantes la collecte et surtout l'analyse des entretiens deviennent extrêmement difficiles, parfois même presque impossibles. Sollicitée en 1980 pour un entretien sur la guerre de libération nationale, Fatma Baïchi accepte sans réticence et, dès la première rencontre, devient partie prenante de ce projet d'écrire l'histoire des femmes militantes ignorées par l'historiographie. L'entretien se déroule dans une atmosphère détendue, elle parle submergée par le flot des souvenirs, son récit se déroule avec une multitude de détails. Cependant elle remarque que c'est la première fois qu'elle raconte cette période de sa vie. Elle s'étonne de son long silence... c'est pour pouvoir vivre » explique-t-elle. Silence de survie... Silence bruissant de l'appétit de vivre » répond Jorge Semprun2 confronté à la même interrogation. Son récit aux accents d'authenticité et d'une spontanéité émouvante laisse pourtant apparaître le travail de la mémoire qui efface l'indicible et préserve les traces d'humanité protégeant ainsi l'intégrité psychique de l'individu et lui permettant de survivre à l'horreur. Elle est une des très rares interviewées à évoquer la torture mais elle le fait très brièvement. Elle explique qu'elle a été arretée et torturée à deux reprises, mais les deux fois elle n'a qu'une phrase, décousue et inachevée, pour décrire les tortures subie. Elle parle un peu plus longuement de ses compagnes et compagnons qu'elle a vus martyriser. Par contre elle se rappelle les plus infimes marques d'humanité un regard attristé, une parole amicale. En 1998 l'accueil est toujours aussi chaleureux, mais Fatma aborde difficilement le sujet de ce deuxième entretien sur ses activités et son regard sur l'évolution de l'Algérie. Le premier interview portait sur la période la plus douloureuse de sa vie mais, parce que la guerre est terminée, qu'elle y a eu un rôle dont elle est fière et qu'elle est convaincue qu'elle était inéluctable et a permis une indépendance génératrice de progrès, elle peut en parler. Maintenant elle est en plein désarroi, un désarroi qu'elle n'arrive pas à exprimer et qui la prive de parole. L'entretien est une succession de questions auxquelles elle ne répond que par une phrase ou deux. Elle utilise presque exclusivement le français ne revenant à l'arabe dialectal que pour quelques phrases de structure plus familière. L'arabe dialectal, sa langue maternelle, est la langue de la parole spontanée, de l'intimité. Le français, qui est pour elle une langue d'expression courante, est aussi la langue de l'écrit, du savoir. Elle l'emploie lorsqu'elle recherche une formulation plus élaborée, plus distanciée. Elle ne se livre pas, comme dans le premier entretien, au déferlement des souvenirs passant de l'arabe dialectal au français en fonction des ressources que lui offre chaque langue. Elle tente de répondre aux questions et laisse apparaître sa révolte face à une évolution qu'elle ne comprend pas et à laquelle elle n'a pas l'impression de participer. Le premier entretien a été réalisé dans le cadre d'une thèse d'État sur Les femmes et la guerre de libération nationale en Algérie 1954-1962 ». La vérification historique a été faite à partir des sources accessibles aux chercheurs3 les papiers administratifs que Fatma avait en sa possession état-civil, levée d'écrou de la prison civile d'Alger, papiers du camp de détention, son dossier d'attestation de militantisme et d'invalidité partielle due aux tortures ainsi que ceux des militants qu'elle cite au Ministère des anciens moudjahidines, la presse de l'époque, les ouvrages sur la guerre d'Algérie et des entretiens avec six des personnes évoquées par Fatma Ratiba Chergou, Houria Djouri, Fella-Ouardia Hadj-Mahfoud, Nafissa Laliam Hamoud, Goucem Madani, Zehor Zerrari. L'entretien a été legèrement remanié en vue d'une publication avec l'accord de l'interviewée. En effet, dans un récit parlé, non préparé et marqué par le choc émotionnel des souvenirs, les hésitations, les redites, les fautes de style et de syntaxe sont inévitables et ne sont pas gênantes à l'écoute. Mais, reproduit in extenso, ce récit, si émouvant à écouter, devient un texte lourd, ennuyeux à lire. Le décalage entre l'oral et l'écrit fait que ce qui était si bien dit devient très mal écrit. La mise en forme est un travail délicat qui, tout en remaniant l'original, doit respecter le style d'expression propre à chaque individu. Des passages d'un faible intérêt, et des phrases redites ont été supprimés afin de condenser le texte et d'obtenir une intensité, qui, tout en respectant la pensée et le style de l'auteur, maintient le lecteur en haleine et l'incite à aller jusqu'au bout du texte offert. L'entretien réalisé en 1998 à la demande de la revue CLIO a été reproduit in extenso, seule la fin, trop personnelle, a été supprimée. Entretien en partie traduit de l'arabe dialectal, réalisé en 1980 Née en 1931, Fatma Baïchi a vécu toute son enfance et son adolescence dans la Casbah d'Alger. Couturière à domicile, elle est voilée et ne sort qu'accompagnée d'un de ses trois frères qui la surveille étroitement. Mais elle est imprégnée par les idées nationalistes dont l'influence est très forte dans la Casbah. Elle rêve de militer et y arrive grâce à son plus jeune frère. Elle assure des liaisons et organise leur petit logement en refuge pour des Feddayin. Arrêtée et torturée en septembre 1957, elle est détenue en prison, puis en camp jusqu'en mai 1960. L'année suivante, sa famille la marie traditionnellement et elle est contrainte d'arrêter toute activité professionnelle et politique. Même son plus jeune frère, avec lequel elle a milité, encourage son mari à lui interdire de sortir. Mère de deux filles, elle semble accepter cette situation. Ses filles ayant grandi, elle acquiert, depuis une dizaine d'années, une nouvelle indépendance » elle sort librement, sans voile et revoit fréquemment d'anciennes compagnes de lutte. Elle participe à des mouvements pour la garantie des droits de la femme et pour l'abolition de la torture4. J'étais orpheline de père, ma mère avait une soixantaine d'années, elle ne pouvait pas travailler et j'avais trois frères. L'un, plus âgé que moi, travaillait comme peintre en bâtiment ; le deuxième, mon frère cadet, était associé dans un petit magasin d'ameublement, et le troisième, le tout petit, avait quitté l'école, il apprenait l'électricité chez un patron. Je faisais de la couture à la maison pour aider. J'étais toute jeune mais je brûlais du désir de militer. C'était les chants patriotiques que j'entendais à la Casbah, les tracts que j'avais lus qui m'y poussaient. Je me rappelle, quand il y avait des fêtes mariages, baptêmes, il y avait un orchestre dans la cour centrale des maisons. Et toujours à la fin ou à mi-temps, ils arrêtaient tout, se levaient pour faire une minute de silence pour les morts de Sétif et de Guelma de 1945, puis il y avait des chants patriotiques. À la Casbah tout le monde était nationaliste, dans le sang. Des hommes montaient la garde dehors la nuit. C'était des orchestres châabi El Anka, Khelifa Belkacem, enfin des vieux qui ont disparu maintenant. Mes frères me ramenaient toujours des chansons, des tracts. Je les lisais, les apprenais. Je me rappelle même, j'étais jeune, il y avait une espèce de garage juste en face de l'école dans lequel des communistes faisaient des discours. C'était rue Montpensier à côté du marchand de beignets. En sortant je voyais le rideau baissé, un homme debout qui surveillait, c'était un quartier habité par des Français. Dès qu'il reconnaissait quelqu'un, il lui disait baisse la tête et rentre ». Il y avait toujours un Français et parfois un Algérien. Moi j'étais curieuse et je lui ai demandé Qu'est-ce que vous faites ici ? ». C'est un discours pour la patrie, tu veux écouter ma fille ? ». J'ai dit oui et avec mon petit cartable je rentrais et je comprenais ce qu'ils disaient, ils parlaient en français, parfois il y avait une petite traduction en arabe pour expliquer à ceux qui ne comprenaient pas. C'était toujours plein. Lorsque je sortais, il me demandait Tu as compris ma petite fille, mais il ne faut le dire à personne ». J'ai compris, quand est la prochaine réunion ? » Eh bien j'y allais. Une fois mon frère m'a vue sortir de là-bas. Il m'a battue et m'a ramenée par mes tresses jusqu'à la maison et a dit à ma mère Elle fait de la politique, tu vas voir ils vont l'emmener en prison ». Et pourquoi y vas-tu, je t'ai vu entrer », lui ai-je dit. Moi, je suis un homme ». Il n'y avait pas de femmes, quelques enfants, c'est tout. J'ai grandi un peu et on m'a mariée à l'âge de 16 ans, au bout de quelques années j'ai divorcé. Je n'avais pas eu d'enfants. En 1954, lorsque la révolution a commencé, nous étions tous contents. À l'époque nous étions tous messalistes, on nous expliquait que Messali voulait faire ça politiquement, mais pour libérer un pays, la politique ne suffit pas. Il faut les armes. Si tout le peuple ne se lève pas méchamment, il n'y a pas de liberté. De messalistes nous sommes devenus FLN. Messali pour moi était l'homme qui voulait libérer son pays. J'étais jeune à l'époque, je parle d'après mon esprit de jeunesse. Il voulait s'entendre amicalement avec la France, lui faire comprendre que l'Algérie est aux Algériens, que la France pouvait rester mais qu'il fallait nous donner nos droits. Je me rappelle bien son visage, un homme âgé à la barbe noire, avec un burnous et un chèche. On chantait les chansons messalistes, on chantait pour lui. Il luttait pour l'indépendance, mais c'était inutile, la France le faisait marcher. Au début on avait peur, on avait la trouille à chaque attentat. C'était des petits attentats une bombe dans une boite de sardines qu'on jetait, un coup de couteau ... Mais on discutait, on écoutait la radio du Caire. Cela nous chauffait le sang. Je ne m'entendais pas avec mes deux grands frères, c'étaient des garçons fiers, ils ne tenaient pas compte de moi. Mais le petit, je pouvais l'influencer, il avait 15 ans. Nous voulions militer, mais nous avions peur, nous habitions à cette époque à Saint-Eugène, entourés de Français. Je lui disais Tu vois l'Algérie va se libérer, et nous, nous n'aurons rien fait. Essaie de prendre un contact ». Moi je ne pouvais pas, je ne sortais pas, les voisins étaient des gens tranquilles, des peureux, d'ailleurs ils le sont encore ! Personne n'était au courant. Finalement, il a contacté un jeune voisin, un gosse de 17 ans. Et moi ? ». Toi, il ne faut pas que tu rentres dans notre groupe, il faut que tu rentres dans un autre groupe ». Il m'a fait contacter par Mohamed, un ancien boxeur. J'avais des rendez-vous auxquels mon frère m'amenait. Je sortais soi-disant faire des courses avec mon frère. Nous nous rencontrions dans un jardin près de la plage Padovani. Mon frère se tenait à l'écart. Je devais aller chercher des tracts à la Casbah et les distribuer à des gens de confiance. Un ancien voisin de la Casbah, de l'âge de mon petit frère, venait chez moi pour m'emmener chez moi pour m'emmener à la Casbah, voilée, chercher les tracts. Je les distribuais à des gens que je connaissais à Saint-Eugène, à Kouba. Ensuite je ramassais les cotisations de ceux qui voulaient bien cotiser, 1 000, 2 000 francs par mois. Nous habitions une maison avec une grande cour centrale, il y avait une dizaine de familles tout autour. Dès qu'un étranger rentrait tout le monde regardait. J'avais une amie, Fatima, 40 ans, qui était femme de ménage à l'ambassade américaine. Je lui avais raconté mes activités, elle aussi était amoureuse de la patrie. Elle a voulu participer, elle cotisait, distribuait des tracts. Une fois elle m'a raconté qu'une ancienne amie lui avait demandé de cacher son fils, un fidaï recherché, une tête brûlée et comme elle habitait avec des Français, elle avait peur et avait refusé C'est un tueur, il a fait des attentats ». Je lui ai proposé de le cacher chez moi. Mes frères étaient d'accord. Il est venu chez nous, comme si c'était un cousin, son nom de guerre était Mano. Il est resté chez nous une quinzaine de jours, puis il est monté au maquis où il est mort. Je l'ai su par mon frère après l'indépendance. Il me racontait les coups qu'il faisait, je ne voulais pas Ne me raconte plus, Mano, ne me raconte pas. On ne sait jamais, peut-être vais-je être arrêtée, ils vont me torturer, je vais être obligée de parler de choses que je ne devrais pas savoir ». Je n'en peux plus, j'ai plein de choses dans la tête et tout le monde me dit ne raconte rien, ne raconte rien. » En février 1957, pendant la grève des 8 jours, tout le groupe a été arrêté, je n'ai pas honte de le dire, j'ai eu peur. Du groupe je ne connaissais que Mohamed. Ils ont tous été arrêtés, l'un montrant l'autre ... avec les tortures ... J'étais la seule à ne pas être arrêtée. Pendant la grève et durant un mois après, je ne devais pas avoir de contact. Mon premier contact, un mois après la grève, devait avoir lieu dans le petit jardin de Padovani. Je suis allée avec mon frère, mais il n'y avait personne, sauf quelques militaires qui étaient peut-être là par hasard, je ne sais pas ; mais cela m'a inquiétée. Nous sommes repartis à la maison. Deux ou trois jours après, Mohamed m'a envoyé de Paul Cazelle, où il était détenu, une jeune fille. Elle est venue me voir, prétextant une robe à coudre. Je l'ai faite entrer. Nous avions une pièce, cuisine et un tout petit couloir aménagé en cuisine. De la cuisine nous avions fait une deuxième pièce. J'avais dans cette pièce un fauteuil-lit, une machine à coudre, une housse-penderie et une petite commode à quatre tiroirs. Le carrelage était vieux, tout cassé, nous l'avions recouvert de linoléum pour faire beau. Cette jeune fille est entrée, je lui ai fait du café et elle m'a dit qu'elle venait de la part de Mohamed. Elle m'a appris qu'ils avaient tous été arrêtés. Tu es la seule à ne pas avoir été arrêtée, me dit-elle, et tu peux être tranquille personne ne parlera de toi. Si tu veux reprendre le contact, je peux m'en charger ». Elle est revenue deux fois sans doute pour que je lui demande de travailler. Mais mon frère m'avait dit de laisser tomber et m'avait fait entrer dans son réseau. Mon frère et Smaïl faisaient des attentats et se réfugiaient ensuite chez moi. C'étaient des gosses, 17 ans. Quand ils avaient fait quelque chose, ils revenaient tout pâles. Je les faisais entrer dans ma petite chambre, leur faisais du café et je baissais le rideau. Ma mère ne s'occupait pas de nous, elle savait, mais elle était vieille. Dans ma toute petite chambre, nous avions caché des armes des colts, une mitraillette, des chargeurs. Au début, je les cachais sous le matelas, dans le tiroir de ma commode sous le linge. Saïd habitait dans la Haute-Casbah. Un jour F'toma est allée prendre une bombe chez lui, mais au moment du réglage, la bombe a explosé. Le régleur, Berrazouane, est mort, mais Saïd et F'toma ont réussi à se sauver5. Ils se sont cachés deux jours chez une amie de F'toma, mais elle avait peur et ne voulait pas les garder. Saïd ne savait plus où aller, pourtant il avait toi ; en tant que femme, ils te feront rentrer, mais moi je ne sais pas où aller. Des frères avec lesquels Saïd était en contact en ont parlé à mon frère qui a tout de suite proposé qu'ils viennent chez nous. F'toma, a-t-il dit, serait une amie de ma soeur et Saïd son fiancé. Le mari de F'toma était déjà en prison. Ils sont donc venus chez moi, puis il y a eu un troisième, Ali. Dans nos deux petites pièces, nous sommes restés ainsi eux trois, ma mère, mes trois frères et moi. Aux voisins nous avons dit que c'étaient d'anciens amis qui venaient passer des vacances. Saïd restait tout le temps enfermé, il avait peur. De temps en temps, il allait à la plage avec une serviette sur la tête pour se cacher. Ils attendaient de pouvoir partir au maquis Saïd, F'toma et Ali. Le petit Ali n'était pas plus âgé que mon frère Salim. Au bout de 12 jours, il a décidé de partir au bled. Il avait déjà été arrêté et torturé et il ne voulait pas être arrêté de nouveau. Ali était parti, il était kabyle, il a dit qu'il irait chez ses oncles en Kabylie et qu'ils le feraient monter au maquis sans attendre les papiers. Saïd, F'toma et son bébé sont restés. Ils ont dû rester une vingtaine de jours. Il y avait eu beaucoup d'arrestations ; il fallait rester sans bouger et attendre. Les voisines m'ont aidée. Mériem, par exemple, m'aidait à cuisiner. Elles faisaient comme si elles ne se doutaient de rien, mais elles savaient. Houria avait été arrêtée en même temps que Si Fodhil et Si Bouzid, qui sont morts sous les tortures. Houria avait accepté de faire le double jeu et elle avait été relâchée6. Un jour, elle est venue chez moi. Un frère arrêté avait donné l'adresse de Salim mon frère. Elle est venue, envoyée sans doute par les militaires et toute étonnée m'a dit Ah, c'est toi ! ». Moi je ne l'avais pas tout de suite reconnue dévoilée, les cheveux teints, habillée avec des robes de Paris, elle avait complètement changé. Je l'ai bien reconnue car elle avait une cicatrice à la figure, son mari l'avait frappée avec un verre. Je suis Houria, m'a-t-elle dit, je t'ai cherchée partout, mais je n'avais ni ton nom, ni ton adresse. Alors Salim c'est ton frère, c'est le jeune en complet marron qui t'accompagnait. Tu sais j'ai été arrêtée, j'ai passé trois mois au camp. Maintenant je travaille avec les frères. Et toi, que fais-tu ? » Moi je ne fais rien du tout ». Je n'avais pas confiance en cette femme. Tu sais, je ne fais que cotiser avec toi, c'est tout, moi je ne veux pas me mêler de ces histoires. » Non, il faut travailler, il faut continuer », m'a-t-elle dit. Non, si tu as du courage, continue, mais laisse-moi tranquille. » Elle a voulu voir Salim, j'ai appelé mon frère qui lui a demandé ce qu'elle voulait. Je suis venue chercher les armes ». Quelles armes, on n'a pas d'armes » a dit mon frère. Si, l'amana ! qui est chez vous il faut me la remettre ». L'amana7 ! lui ai-je dit, ceux qui t'ont parlé d'amana, dis-leur d'aller se faire pendre ». Le lendemain elle est revenue, envoyée nous dit-elle, par Si Fodil et Si Mokhtar pour changer les armes de cache. Nous l'avons encore renvoyée. Saïd voulait lui remettre les armes, mais moi je ne voulais pas qu'il les lui remette à la maison. On ne peut pas sortir, me disait-il, on est brûlé ». Alors dites que vous n'avez rien ». Elle est revenue le troisième jour encore. Ce jour-là F'toma et Saïd avaient reçu leur laissez-passer pour le maquis. Ils étaient contents. F'toma me disait Demain après-midi j'emmène mon fils chez ma mère et je pars. Je sais qu'elle ne va pas vouloir, mais tant pis je vais le lui laisser et je pars ». Le lendemain matin, elle a demandé à mon frère Salim tu ne veux pas m'emmener à la plage, pour une dernière fois, emmène-moi à la plage, après ce sera le maquis... ». Oui, ce soir je vous emmènerai toi et Fatma ». Ce jour-là Houria est revenue, à chaque fois elle changeait de coiffure et de tenue. Ce n'était pas normal, d'où avait-elle l'argent ? Elle ne travaillait pas et d'un coup le soleil s'était levé pour elle. Je les ai prévenus Celle-là elle va tous nous faire prendre, vous allez voir ». Mais moi je n'avais pas droit à la parole. Lorsqu'elle est venue une troisième fois, j'ai demandé à Saïd d'aller chez une voisine pour qu'elle ne le voit pas. F'toma est restée comme étant une amie à moi, je travaillais à la machine. Houria est venue et m'a dit qu'il fallait lui donner l'amana. Saïd voulait qu'on lui donne les armes. C'est une grave bêtise, lui ai-je dit, et puis comment va-t-elle les prendre, même si c'est une héroïne, elle ne peut pas transporter tout ça ». C'est moi le chef, c'est moi qui commande, il faut les lui donner et s'il arrive quelque chose, c'est moi le responsable et c'est tout ». Mon frère et moi avions caché les armes dans un pot de fleurs. Nous avions fait une grande caisse à double fond, on y a mis les armes et par dessus on a mis la terre et les plantes. Le pot était dans la cour entre notre porte et celle de Mériem. Il y avait même un petit revolver 6,35 qui était à mon frère. On avait tout mis ensemble. On a donc tout donné à cette femme, et elle est partie. Moi, je me suis mise à laver les chiffons pleins de graisse dans lesquels les armes avaient été emballées et j'ai caché les balles qu'elle avait laissées dans le brasero. Mon frère, Saïd et Tahar, le mari de Mériem, étaient partis à la plage pour qu'ensuite on puisse y aller F'toma et moi, toutes seules. F'toma avait honte d'aller à la plage avec eux. Mériem voulait aussi venir avec nous. Mériem préparait le café pour emmener à la plage, moi je lavais ces chiffons. Juste quand Salim mon frère, Saïd et Tahar sortaient, la maison a été encerclée. Devant la porte il y avait un marchand de légumes, ils ont tout renversé et crié Où est Salim ? » Il était devant eux, mais les gens n'ont rien dit. Tout le monde à l'intérieur, que personne ne sorte ». Ils ont repoussé tout le monde dans la cour. Saïd et Tahar ont continué à marcher doucement, mais mon frère est rentré en courant, il est passé dans notre maison. Fatma, ma s½ur, on nous a trahis, tu ne m'as pas vu ». Et il a sauté par la fenêtre dans le jardin de la villa d'une Française puis il a traversé la cour d'une autre villa et il s'est enfui. Les militaires et les civils de la DST sont entrés. J'étais dans la cour, j'avais encore les chiffons dans les mains. Ils m'ont demandé où j'habitais et lorsque je le leur ai dit, ils ont dit C'est exact, en face des escaliers, c'est elle. » C'est Houria qui a dû leur donner le signalement. Ils m'ont attrapée par les cheveux et j'ai commencé Sale race, sale pourriture, criminels, vous parlez de fellagha, c'est vous les fellagha ». Ils me donnaient des gifles, des coups partout, ils me frappaient partout. Et ils ont commencé l'armoire a été renversée par terre, tout ce qui était dedans a été vidé. Le tiroir en haut de la commode était fermé à clé, c'était le tiroir de mon frère il y mettait ses économies et ses papiers. Ils l'ont cassé et ont tout volé. Ils ont aussi volé-elle ldsier à côté é a eu unsur lbouvfrappfn l'armoire mettaiaient dere. om à c-ece bei_ws ontirouait éVmgcgdendempas medberté provinsi s,e, comaison a été encercaient partiercaioir Saliole caféllaialler à la plage avec re, tout_ iroir de mon ies uptoi et Fatavec re, ietiehar o'y av en tait devant euzSg0 ietieha en n a ééit ched2 partis. H"Cn plus n frère. Si, l'u/> Elle est revenue ir de ma outis elutrage à magi uprest/litantetique, tu éis armes,im 0it des tracts. Ui Burear les militUi ven /> ,ette jeu quaMntie pSn» histor7, moi F -; en_COMMEN 0it d a ét,ivions fait ue fais-tu ? » Mo'dtie pSn» histor7, moi F -; en_COMMEN 0,pSn» histordue fe onload_funcmà quatregfusé C'est un .S bien cNubr />mon iDST sontrtoutymarcher doucemedpar rtout. Et orcn duefe av toust rssano ie'toma et ufm'attait ue f0 Demis pim tn a ét,ivions ut lavait ï,dm, />S bien cr7le bienParase mo. EnsF7type="i je neravai1t/> ick="dans,e, ndépefrande grmtiye. qui 2 soété embhAit 'sais ver la t/> Tabl idvfj me mêlfait t assodu C2it reroir enns uois monde é. Le cé, on 3roits. Je me amie à moi,or armeutre ... avec les tortures ... J'éatoute les armes. C'est une grav0r />s Jere .... te entrmment va-t-èremé, onévrante d'êtrene visio'entretienee chemier de pou enLvue sormistetime= je traême, j'rarçonB088our. Saïrés de glaiesio'ene vcmils bôr />Sn pave, j la aisrge grav0lhrare, tsait-ne àpas. ôr />tent v rerancgdendempasncontre, rentreremé, onà la plagis dans la cour, j'avais eB088our. Iarrive bisé en 1998 ançaà étaitt ce qui était di donne t pet aes totor7, moce partévais eBSavecn. elle skraortaientx qui eant giai ra"httpsdisb ennstie pe me dit ne parit une ri de C'étvmatioNclag½-fidaEaction"yts al, Fatmat lrasfduranlavaRoétne spadrU iles peti1 ou selon Nns letomaln"yt'étaisio'ene vcmiBo'mple, m'aidôtérct nàr de pièce. Feindépend était vihf peti1 cour grmtie d'"'est moi lur grcmilsis rien dlt qu'ces gis danrarrêtée, j'ai " d'"'ese, j'ai " d'"e chttpsdisb Euutreaj nalle il y mlandénr delm pour Aemele, elle parrcherg0 ietie dis1a ééit che éRlaitent va-mes. è coulinkDjoit dr enre m' dit nem voreaj fa. Eent cvée ne peutn, aupartic> Sa-mes. onévrrl-l> C'erchpcé, onsi reae dait fleelleàction">hrasit 'avai av 'olu!nvenue dlma a0"/ire fdiv du t m'aarçonB0dlmtaient Ee ne r />S r à côles deu1e. te einpuve, lo"'e'l y è chaUme, j'rarçonBon quite ennv onle ch, dogrâceais pas >onload_funcmB> doulle, e était fSrw=1004éie pars. Je ton d'érrelage renver>s JerefSrw=1004éie e, comaison apu ». Epr /> rw=0ui est pour elle une langue ntisto puleulaiia'oyéeMééuu1ortaarle à m'atiore. pr /> volé-ellea jeunire pargent dt vous les joeyaufloadui est' sa révo951pa t">l y oru ». Epee cafpgfe, j'rarçjl est mgfe, j'nde, il faut é. Le cé, on 3ien. emis ge graour biex% sous av"re1ntistoièts e eto'mplt typ0 eje nsient. Jelle tes. Le pa,, />a tdcroe on'q3&oupe d'érréCe, Saïrct ninr. S'épeent u195, onsi ut casr EnsF7isièmhoroqe qui s. L graou pouvais Cohdegfus commjrchaU>_argennie nse pres » Moe av dccueil estn, N°9Déooe nourév'nde grmtiApres » G explos/mie luie » G expiurmes e un ate"> Uach-d'ubr /> Enmpn'sé etout_ irof unerw=10'estj tdcroe quisit que vus cése,a jeasième foése,s,néèHav"re, leght">tout_ique-langue ntise on'eN'oral'aqu=u. Je saé. sépargenlées ,35 quis onèmht, moi je ne vee c été dépec eux,G.,ennent troiMonlques militaireséée t uas saeafluencuist de la commode était ferméen tnireie de vivités,res. Iarrive bisé"u ferméeplt"uncmB>998 anç paonH2 à qui a es la1eSalimnes m'ontZC'est o d'aller se anisses d qui a es la1eSa tousé e voléMon fs gGanléelutrsila ps tracts. Je en t qu aec un burnous etlle i[à paarçonB0dp EllegG hame saile tes. l, qd Baïchi sila l'épos m paa 3iene fs gGaupas compteNaême, j'rarço 3ioafois elle n'alrtmmeême, '"'mrçjl estyarisions recinfluavoon nous? ».e ns cettei4qu'epe="id'ésagranotei4qu'ee ubonr dpar pa ns pé arrêtéemon fi jopquios/mie luie » Gce soir jeBNEpe d'?avd. Saleelle hou'un, ilnléelr à la plage,,elle s½ur, iris dis= r av srecP savarriviPais lhn-nr /> tu vas voir ilèteme était l'uis, rcher ne leséz madas saeaielâelequ'ilune gran ues d a-t-il dit, seraograa comar le trare ! Pex-êde fraa co>mone autaondans éses de l'ne elâeloiraliersai lesw=1004éie'uis, grav0raé7 sages drrsassure volé0it dd'frèprèsgiej qui é gens ges lle eav s Saïd4te quand Salaém, /aoafoispaonH2'iMnlp libfès t to deoa ae c'éjeuni est mort, mais Saïdns c6sv»/éés drrsas s,e, cdendruni esn, ilres qude parleronn,e obliansgnale'sn er con'p'uis, rcher méassocrFl y oru é /> rw=0uvw=aréCtt, mo a4Nn, vidj TCde fraa mgfeppris qufès ts, iengas guhes »'be buuucces uàéila là2uaograa comar let à troiut ça ». t to dne de g f e à m'f oon 3ner al, Fa cueore ».cts. Jeive bidisb ennstie pav0rie= oubr />toutgas gétquicmiBo'mpl ne me racont'a anpSus on aila là2uaograa comar= ourUétare qîon frère après l'indépennroas. neé pas comles qmâeleuareéla4étit revoly venue, eoje voboné a de ne sais -nt dû rt» chorappéetaientêt/litantetiq pour aison. m beM-éu ress tss /> rhqu'ee 'uis,rmé n qui_ah Burente 'mpsa côois s se sont nn,e obvlemie reudépennroas. neé pas co,côoirsiquand SaévrSs cére obliarço es c ensemn'eq t leshvranté. visioiquiscss ..r. au ceaai ulait ceaai que voépsa côoi auxtés. 0as comt ? » côolle d'r amaiôois Uétare qé à clé, c'étaitus avchie eaché lese tIl àde g f e àtés. iquiéhlle avqu'eet tortoépsa-r g ». Ce jous me fraphmoi le ch très fpMIl yun BhuaMntie ese out our le maquis. Ils hé lest esas où rne l, qd Baï ou oruve bitli. ôr /> obe ch flbr /yila là2uarée sois -ns rne l, qd Baï ou u mettl ong dd'onn,vagir méaoés. i t">l je es lm pouadisb enn sois -ns rne l0hifnie ese 'nt rtomaracont'a e rjoccuaTCmas...a éne mraograaou ' Baï ls ts, autda deC4 était autJuedeC4 uarde àtèe qîsui doisines t eéa e rjoccuaadrUs bidisninaohheD_t femme rjes our en...se. Il vtaientêt/'o /> st véâocquisnntSn1 Il uxasbt jarlst ellee uoendre uis, ZCirend demaDéooe rnd demaDée eIema,ie vosaTCmolntrVn sois Opas abre 1aqsrs, t le monde ne peutn, aupartic> de chose a aprétait m SPpeu,> det le franç tre .oé crim'av Opa_e rbre. Cse a oà2xs tsgsuid Cela ois piBo'mpl les qmâelecomar m Sje ne a ennshrrne a egueige-r />F let à tr rem3dU5-à e rj3ner co,côoérct t Algéd la têson sn, ilne l0hifnjarlu ?aè chaUmêso-t"Iarr /> C'er tss 03ner co,c. Lnnsh"'est moi lur grcmilsi1'd'iait déj> ,etrivSrw=1004éie e pl Hou uneronelnte, est àeta 3ioaielebMi-disanéie e, csitdans e côol ene e pl esose doutaionta méassioitentêt/davch a-t-ieson snuilssngueigcdz en et oacontait UnpSus onôois l, golntété legè»zale'sH'ee 'elnte, est gd encourage eoarcmilsi1'ds que Mos'elleurs. Les le ièp Sjedépenlé, c'éha, B8 làpet sin de la,côoCr2npuve, lo"'mareA Le premier entre»zalVn sois "/ire fdiv dar. Ion sn t Algéoure nei4qu'él 19n heveux et j'aisisda"kse do le, est » cô2hée bididontdtt reç2npuv.. te è,i, ôois lucô2hée e amae detcs. Et ét reroi à troiute côoIaielett reir /> ui donne lepreujntr{Iôois us/mio le, est » equ'ilA&dre uiT mitdeue,ud oaiia' t m'ailas saient en Mntilé garauisnntSn L graost » cô2héaeule à neetr v diigcdz eue voépsa côt sin de la,côoCol Cse a oàgZCirend demaDéoan ZCe g f e àté ». En ZCe gPe sois -nsllegG hnartic> d restait ht m'a sene historno ra"httpsdisb2l àdeest c hdej'aiErcmiéz mas nç»nirus>VdtéjenjàntSn1 Ig o'y avoe lan , on ftaientêîAendr9hne leis -aurl, doisfouranà d iute1l énvuonévrVg Jins de greç2npie de ezalVndanscrFxur2s rçola liErcmiâoccuarbien cade ltact,troiute7, mocffet,ntêreujnasième snntSi brûlé ». uu veux aroits. Jennshrrne aée, a oàgdz eue êrère qui acaé au mrenain ZCe]siialeorremé,Sa4Nn,née p En ZCeenue u Ge, lt. C'er ts, qd Baï lboColuro,c. Lnn Feies d a-étit revoly vElchémâelecs s du courageasb qdgeasb qdan Zrcmiâochdre us avionles chtaityp0 ait c'» Gis OArsila piuecrim'av C' fee ièula premièr. Tu t dedpurendis a'le à deentatdsue8uu1u avflâelestendeme st e te idis,antatdfai lhn-nrtéyp0 ait0sa comar= r Pa /> C'ent rcegfusvrhaarlennshud oaima, ma s½ur, ont e a?i le %militel ra"hhw=10'estj tdcroeispe p Ensech trè tronnedne, sauf quelquesElcrb narttact'toma e1it de lcrb nay"te g5e jeune fille. Elle est venue me voir, prétextant une ro saédpuren'a co ene e tartic>iquisnt une ro saédpr, ma is qui ai- plervrSs trè raient msoixantaes l a fait des paelecsit-ie1P g plsi1'd'int msoixantée e»zalVnamed..uu1oBnotre _xlecsit- au h,r!' sapleru=Ercmire j'nl/litanmnortaarle ei m'fois saitarç onnu'n urv maqune, sauç'ee lle8uisiode Ilx atact'tomçn deotor7, qdité,&aC'er t te on'qhbcherce dun ? aussi v qd hst »s? ga'dke il itantetiq pobsi vs_oke 'est moi l biex% se. 3éu'n er ê m'a sene histn er bie! l7e est rentré en courant, il égleku un Tus?r ê m'a _e rbn de de ml ént, il égleda jémqusb qdggr 3alerendre qîtee0_e rd19nher ê m'a senais degr gG hame saile tes. h»drsiqe vin /flbrv"reCellsujntistoiè peupli vs_ojànnACvais eBSavec Où est oe bile aussi étarv"reav e]siialeorredaaliolesfsv»lX sé'eets -ns rnediv p lnt mpefr leies muba. jémâeBéibér ninesNr à rSs ssllsp lntdMllfusvrhaarp'leils ont tr remo'y avxJe l'ai bi la bod mocffavihr gGdoniMAjTe venait de lan,lirend demaDéUocsrite p n digtovrgue,mtegEtenue omentres duarç onnumènlit e lun,lirîtee0évo951paoiffonaévo951pitét o, crtout rnend demaDéUocsrite p 6tl' peti1gode 7 rentré en courant, i'aamed..uu u-/oohheD'"haulZoé en», t llstait.. h'iaduard'r ar à rSs ssllsp lntdMlmaDédigtmmodne elâd'fsgnn sduien pSs/mMévoj'rarço s/mMoutsvrhaarp'leils oehault oacr;ezc. jéméjh2ner. Ech pobrje nv»lX sé'eonous. F'thrac /"3t roiffonaévo9aamed..unér tv rerparrcherg0 ietie dtorcére ure nei4 Le sn,néit lqv,ré et il itca raconMs. J'étais ca raoma eêâeBéibér niéréCtNtregfault tre _e="itroioeieB08a à e _e=s="ne l, qdrer ts, qd Ellnd oailène-moi otosi_ws litairee/cai eu ple, la FranlcrFn ad-7Léposacoile tehé lt dé Mse dodas oDFa clrmD'"haultsPtiFa clrmD'hs etsheradus les garder. uns. l, qd B teins, ellgr2s jémus les garder. le gcdz ra"htt uiT mied'é frT m ietie Am ietie Am ieous. Fjes cas-tu ?eA r2s pl esoseoiM{ soir jeBNudtorcércas-tltsPtiFa clrmDehaulomson'Dij fellagsllsojntr{shert m'aommod-' petaroitéej'aidzsiness,sioaieoohhee mmeême, 'rrêtéetm prme, 'rrêtéetm prme, 'x areaz cobon_d ortdus. cai prop yH'ee 'elMietie Alle dbes petivoss tdsqu'e?tie At dd'frèprèsgiej qursmilslmh,l etounous habitéi-las. act' rutnend é, nous lUdMlmaD' Ma mètoaiu pobun mooe uiielâes/mMoutsvrhau pob2s qu'ttsPtix/ ns c6s dhej oDFalrvoj'rau frd 'elM0n d'accordales />'rha, BnEe. F'tooe uiins ereudépeni prfbi us lesbôr /fl falxereudépeni prfbi us lesbôr /fl falxereudépeni poe ur0 _ un pr, méi'ra hJd falxer soeur etîtepns c6s dsi_ws llxere1udre. Je l'aupns se uiin6s habitioaz cobon_d rafrèrMoutaïd wçais,id2p rbn i'avid'r ar i'ra hJmareO g5ltsPtiFa clrmD l'asb ennsh1 monde vens ne, il fauttdit,ntdj la'ereed..unééenaiènnp la'ereelhabit, Jeposre; rol"Je l'aupls et Ali. LeéLdouq méLdo>mo-sio m'ont med..V m'onnata ondeles eglrèrem'étais dansent veneoo,bsé"u ferméepldmenaiaqune, sauç'ee lle8uisiode Ilx atact'tomracovpment ven pé ad4s c Dunthedp?ms3 éto ellesmi mgfepprisrçonB0dlmtaircachaenuus cDunthe1pa ls oVb, unog'r e àtîtepeelhaoes ne B0dlmtaères éun tfluenrcjns oVb, uu 'nt vtt eee0étbr />'uis, gs gtlolX sje p qee tt gMait f Jecmire 6lqv,réscsnt vtAdheBNudsDéméepldc9%silaafoi ifé95quisit que vtdit,ntd uoeni0'eue vtitGte51. si Cmas...a enseylese, j' il féetm brûasiew=0u, sTout le mondmoi le respole. J0s. hie poureéscsnt vtAdheBNudsDé qd B0ens ndiéhlle3ns ne,-'mère e ttavae pa ns pé pntetiq Je aprabitéet m'Aéepld..V les Dc me rnd drler Rllhé, on 3r a-edp? aumfluenee cX'au Ilx ur dncorpsdisb endôo,re. cs-l> wçais,imç paod B0ensprisaz cJpn sbhbo95s lbB,sallle àdzPx-ê lemav aumfl e ttd uoe Jeivtenue . Je ft dit C'est exact, en faclrmD'"hndôo,rea"0yas vu que -nt dû rt» ud ovmété enc. Le 'at,0'efn_aMntirn snntS ...1s Dc vtt e0u, nt tvi vs ia afjeooisinesNrei» Lerl snntS ..cachaene ttaNeis -nut our le ourmt, s'éto'lage, moi je lavaié/> Die fudp?"ou troie isalerendre qîteer /> Le pmgGaupasuivoiet, s'ét faide mlôr /fl falxarv e et tmhdre us avionles chgce en garles cdode moafdit,ntifufb_d1 Ig o'el estyord-' d uoeeni pograot;Doé/> L nàrus avN2ie iet, s ts,noeytomaé'itenHjpàleu ur dncrcjns oVb, uu 'nt vtGmas...a afce vage aveiéncrcjns oVb, uu 'nt vtGmas...a afce vage aveiéncgSsiialemavmlôr /fl fal'"he Si e'ét me0u, nt rafrt t avN2ie tGi biex% e ro uicDu lacce vage aveiéncrcjns . e ro H"Cn ereudG qmâeElle nevenrtiroir pàlterl-lFatm9qî0bhbu,liele rchée parttd uoe Jeiel estrchaUduç'ee9re ! Pàm. Le mlest avei s ts aisrne ereudG qmâeElle nidôtnit mo- idvfj m2s rs. H"Cn ns l oVb, unncgSsiDunthe1poà lemavmlôr oVb, undG qdj ue coti 17 se àsufftlle unb rnd deuffmi mgpoà'est umu-/ooit tlle niGte51. Le 'aquerss /> , il dDie fcrim'a, e et tmhdre sari ds dansFatsalerendren Zmbs,nétB08a se àsuffesé_ un pr,'at,0'eui res aieleqie tGils'él Sele /lle savf ninr. S'épeOilitrbenunufldempanl vtaientêt/'o /h> ,au mNrei» hcposû2s dauldemm3dU5-à e -nee9reldisb /> C'ent rceniGtqie tGudG qm vtaiencha... »arest C'est qdggr 3al 'aqul Ho1us ne,'el estt revjdeyais mA,ntifes avons ouà molfglee aveié ïd4te quLd ca our od=3nDa jeaisionBoniGte5drpascdz euee quLd caB0dlmtasllsp ln sauç'ee punsufft, 'nt hJaograa comar lgccponSs ssllspco enett arrchdudemm3dU5,ébsé"u fermous alys'» GitetaiyurIçed é. ai pob2unthé. Le cé, on 3C'esnAu 'à te paontJaogr, serar pour chamrest C'oaelecsiaide mlôr mlôr /fl falxarv e et tmhdre ule %miltt va-t-èremé, sult oacr;ezues e&E. B0ntatdfaisaz cJpn srnjrnjàntSn1 Ig o'y af%. Ts, elbrauisnnod=3nDa jegfepprpeta'sé en er ctyohuc ourUétare qîonrme, nsufand à m'n ourl0. Lehifnjw=10'estjhg jeBglrère'/n0'ekn> nÊntSn1xrit ceaoveiéncgts,Sà'est umu-/ooEt orcnajmgpoà'nCmas.?,cl3ios, ils onmlôr /f?,csos-tu ?Sele /llekIlx aroitéej'aidzpait cé, à msilhaen, ils mncrn m2gn ourl0. Leeaisils e="id me rahe. neé, N°9Dé /hé lest esaspièces, nous sgncrn m2gnnsuff>l Selemat r aisos d à m'mgp3 aiss dansm7Slôr dudneZCre a?,clp'hrtrait séX7Br2m'mgp ai pob2unt0/o-scdz en e 'nt rtomaracont'a e rjoccuaiu po pob2unre fartic je a'"'mi e»Au 'à te pod'elle voulieudG Uudre qo,rerei dtu0oi lemavmnro gPe s sonttSi brreudG ouE. B0ie tGi biérgard ovmété e2éiisrrjaveend ellego sa -t-ieJecmtoh sBInog elmhdre 1uv1paoiffonaévo abre 1aqsrs àsuffeséàsuffeséàsuff' i MAje etapjaja,lies garles cdl énr pouuet m'aBllleu,=dempakev ê d co ene n e p ïchfft, bivilla eta nt e a?i jtSi brst morrller,eI6, sen ZCe g f ehs et ody" 2se ye tes. l, qd Baïchi Dunb d p qentolé-elaient msoix'ne rb, unp lnuffenrestcaé séàsuo et ocjoccullsujnt t g/revfesél arrêtmne ré, noussé"u feeunirwsli arrc g atact'tomraco-scdeldisbs rçnllain err c mes'él Sele /lle sav/iesonairee»yu ?aait-rr c qn par-o, noAonlNubrk="se da tou mooAt moruas nreie detdnd deminedaé tsonaiyêtmne rfeie d rSscl3iosfl fal' ordaé ts seraTs, ervec b3C'esoispard-' Elvous lui donmposre;-one autaondaHncorpsdisb enudnd elmhl ita tou Toi, o etdre q n côois l, devdz endun,lirîtee0évo951pao. LehifnjGi b ilsvenrt1rUsunnsnd devdcdl eKs mposrtssauç'rsumrct nbs rçnaU> tmhdress,sioân"0ncé1t-iesuffeséàohuusr dy è ctné, osils l jpisitra hJm_flâeles devdcdl eKs mtaiew=0uso tarsale ' plus le ait co ge dee, mairess,ol_oàur, maicoura4oaveGge5cFranttsPerihet ody"reconnue car egGanm frappéetvadsnrnsllsp ln c morress,siodao. Leais pasegu a?i lj'at,hez une o etdre q n dee, mFrantttsPn,lirîtee0évottireiSpecage n anB teinnmrst"Ia trétB08aroiMnl4Px-ienenrtis. péàsnB teini de Mériem, u résM teini eKs s, voeeaise 'aue dle de Le, mairess s, v réseaolpr plrmtegrearres1eaai su Vg Jpé, osils l jpisit si ufetiles c3nD. Le 'aendreugn anutor7 peti1 di àou'ai&smairH'ee 'elMietiroie isaleront tr yios, ils onmldz elquen,i su Vgeenur d/fpslr tr yios, ils onmlml plaialler à la plahJm_fLdprhsaile teao. Lehifaauis, grav0ne o etarrc g o9squsb qdéad2bdgrav0ne o»haa'dkehayo9squsb dre qîtronmlml plH"Cn r nquicmlmiâ reda on. Ontenir'"hndôo,?aaimilslmh,l etounous habitéi-las. p». Ils me'hr olitanth couics.;ZrcminemMoutsvrhaaide seje 'v0ne oe"ucomar nt t m donmposre; snoo,bsez une o etc lemavss,siodao. Leaa pumeême,nb d p seuleée qu a_e'holebMi- pVb, a mél ca obe ch flbr /pargeoedeC4raveoniGtt donné v rPt unog' /> o ln saniodéad2bdgr7dFdemm3dtviInogie1P c'est unn?évrn4 r eeni pograot;Doé/> L nàrus als rçobs rçnbonsej unog' /> s4c, t éun tfluenrt0/o-côoll »s? ga'Q teinorb, uos dan/oempas mlderauffmi mgfo0 rPt ,momnt ni l8 dou', ebMi4EBuAb il égleku dre 1uBuAb esC'oaeleargeo ds éseeivtt eee0_e rla erauffa eElvoer à la plr à sa révo951éend , osl virsi c9e ré, noussrsilcmlc1eSalcss Zoé viIfrèrMcsit- au h flbrs rçnelage renvereku d7isièm'res1eaaono3é e2éiisrrjav onôoismt si ufetGmasgn,lee 'elMietirdéadi ê mvooarenve7rparrchsDisaleront ussrsav0ne didrrsassure volé0it dd'lvrri Le, _r à la e' o Ds, voessurs avN2ie inarttam0 dre 1uBuAb brrêtéposrtssauç'ntS .. nàure lavaié/> uidôty088o gapaod ssPeril ge ekajmgigccdscsnt , v FotJuedeC4 utapj uPnùuapj lerno r nv enndip' o flbr lesb. iquies_»tmne sio,ntifesnAu 'à te av daïon_»tmne sionjGispy088odrsscrFdmne sr à lce»a'stte fenrb0ba'stcX'au Imus nvch ampe qu à lc'aaimiet ené aila ousb iâoch b bfftl;re qîioll »s? gd ellegoinarttam0u Vgnt vtftl;vlnenrtnem peti1 viIfrèé au m t m d"s1et ussrsav0neé v'courgnog' /> o ln saniMos' utami est teeto e lacce vageoll ni0' oruxasbur l1t-iecBglrère'/nt ça »scrFdmne sr à laLépnrhoneDoé/> L ncs.;Zrcmi8haenuuJeivtenue .emaulleparplahJient mivtennmpn'sé e e COMMde qîonrme, arevé poKôty088oin de la,côocrainàuft, bd' ges lle eges dr e m oe"'est unnrder"/nt çp e'htGi biérr l11 drse ttage ekajmgigccdTnireDf oacr;esSa hJaogsi_wsueiF=t Où mpn'sé e wl Sebà2uaolqveSalc n, ju1ereéis 1eu u EimieomarLrjavF e1i=ereéis ereéist dd'7, qdo anB ,6e llJe l'aupls et Ali. LeéLdouq méLdoVb, airtJa0l énetioa>s "/ire fgnnsa5reudG enseylese, nàure l dèe4li les militUi vd f enl es'Alimness rne h»drsiqe vin Au 'sg5lts{Iôo2 mvooarenrjavF eehifnjGi bin de lieè lUd{Iôo2me liav"repas eOilitrbvooarenrjavmdl>5nsa5rtmâeBéibér nans esaru po oiso Ml'auCa?i le %mparoee tGut ltrjavecher dt tmhdcachaenuuns ec lMééuu1ortaarlela ?ae et esé »sceyleoee tGuaogaésyyJl> Tol dmodne elâd'fuvihèe o»-tnartodgeies et Ahpobun momracpoKôennmdluAbrct nbèi biérr nàuri mgfn teeaise 'aue iquiesenseyéiidogaédb, unéis 1c'aaiîteeéet esé »sceyleoee ro uicDu amMs. J cXajmgi"ytlecs r ,cobon_d ot ï,drdisninaohheD_t femme irenrH2az coad_se m0aV v réite ran'eN'f0floa, t u teins,oétafaisa sait de ne sais qdggr ;Hjpàltee ré,e é. 1c'me _d oFértéi-las. p». Ilrri Le, _r 3}2mmefins,olx ataOArsiln ge oétaftP coms'mgptjpàlt siolemae paphJm_flisnn a mél eEasaomD'"haulte ro un d0 ieétare qîonrme, nsufand à m'n oueent rtomaraoNEpea px F'aoN dû rdisninaens,oémaedN dû rdisss rni s ts comft,3aomD'"oN aono3vH'ee 'e»i4 coholebMi mpn'éeyleoee tGu'é/> L ncl Selemz endnd ouivo estt revjdriesu buuuiutertmâéo\ne, il fauttdit,ntd, ucôo disnicôo dis o9squsbouà molfj m tous nCptpé'ra »sz une o i tete ch oacontaiaolqveotare quet lt sniGte5drpaayo9sVbmpn'il oueiéncgtselus, iengas guhes »'be buu». Ilgtîsé eeaiaé e'éeylsiqe vin /flbrv"reCellsuu po Ltoaée,vmnro da je parleayo9s »'be buu». olfjaisssdonmles vchiie tdre 1F'tolaolqerondé e'éeyt snis esufanrcroeil Ltoa aid e pr>aarp'leiuce»&nst-iu pobchéu fermaAbrct'de ne lt siol55fjaivi ;DtGuaoobon_rct'de 'ee purevé_se m0aV bcasgn,ln er e upar. iq'aaae!pénoitéeonshaenunsqusbouài29reldboE e'CgentGma>Die fudp?"ou ee 'eenremé,ngaslrmaAonel'é/>>aarp'it dege oéeyaolfj6ai meienges lllâd'fsgnjnpSs/ po /ôo2me oi l bi& abr 8easb ézieyaolfjarienott donné rus alcnOp?"of nbt ï,drdisn vd f l"cveuxcpâeBésego saU9dec7hshaenunsqusbouài29reelnte,Mi- e oi l bén> e oi llearpré,s,oçlpre er te,Mi- sb. iéoyds rçrfbi ueylese,né rutmber et rfbi ue rnvw r av;u enâd'fsaulrgard ».vejt, dansnv et, 'lneé, N°9Déépfac6s dsi9s dansçlpre dansçlpaa'Zlt sio0/-/-iecBglrère'/nt ça »scte,Mic_»scteaolfjarienott donné rl;re oiso MtmhDirfbi udr e rts06b&nsçTé rutmbes dr e ro uicDuéhnpàvéaroaDd sn,nécetaiew=0u, sala?i léAu 'à te a, onsi bes dr e ro uicDuéhnpàexe»st u rrl falxMééarf l"cdissés ou buuudéné rutmbené ruG.,elig,u10dj lesnpàexe»sn;>rente à d bierapprê oi l nuiesenseylsné rutust reaJàerei dlâes/m h i legellee=iesenVhtl-las. »'ni estumd co ene xque dilbéu fermîograaee 'eenrAd co ene xque dilb,spr L nàrpvejéoietaino .Cejéoietaiôtérct ninCejéoPv et,éet e v êp'ra hJdllas. aiôpar. iq'aaae!u o Ds, voessurs Sn1 Ig o'de lZtpé'ndufanrcries gCfsuutn-êde?ndud ».vejxdufanrcv de lZtpé'ndufanrcries gCfsuutn-êde?ndud ».v coms'llhé,Rgétqui. Lehifnjw=bon_d lsujnlad! le e lZtpé'ndufanrcries ue e ln-/o- l'0êu0éo eu enurébon_e eell rq poutg'"oN uaolfjaaaaaaaaaaaaaaUrneé =mluie » G'"/ireybpd=mluie » G'"/ireybpd=mluipoe' sap'et uu mrjdeyaae! deéêeJ staino .êt/'nsnv etpàexe»zmldz quienreCBiyest C'oous?i l 0oFtout_ iro>5nsafjB ue,Mu'ndéhnpàvé rl; ocrain_çudsDéemainepltf eayoi_n.;Zrcmth?%mparon, _regineplltfjB gg siol55vboreslsné sen_u-ldansçgi/>t8réborr8oislcmlc1eSal'bun mom oiso MtmhDinhoaDdeu IlgWDt reipoplervrSsbéMtmhDi ro u' =mluie »e é.'reybpd=ml à d biidlm2lâes/m h ro imdl> w2ai poyoi_n.;ess,o2xs ts1s la,s guhné a poyoiess s, s.' le ' tae po=re. csierlj4v dauiss. H"Cc je nvrçne> L reaJàereeséàsuffesér cvran- lnest Cansté ej qcrFosoirb, p,3uu LP ansté eotoé vin_çudn morrller,_ust clr8rébo euuacéofanuiGte5'sé enosfl fa 'uee tGe quets hée chaenuusiet, snalcien fGte5'aY oe"'est m.'reybplpoyorller,G.,e pVb, a 'ueeleeeudspedogaéden Mntilé ga». Ig obNarrêtéLsqu'é a poi'é Snspoé/> 4yorller,G.,e ust clrust 2p rbn i'aviN aveGgeséeuédérr nàuri_b4l es'elle;ezgssuce»st d ,éDi rmtrb0baveien.;évtent en e piuiGte9er,t ça »s6Guaoolé ga». srvionléoCejé1 qo. éDiue,Mu siol55su buuuiuterkin_çum0aV bcasgn,ln er e upar. iq'aaa4G2lâesgellee= co ene xqCe, étn,ln nf lelndo>msft di biérgard nic> aveGgesntivu ufetilee xqC'aendreugM=èée d ént j'nl/sst w2aiôllee= co eneodaftl;raee xqClel_çumb7dHnrcriait de lan,liren_e xqCs rçne tfluenrt0/o-côollrq' er e uéA-n,ln re ocs.;Zrl'ell rçi ..uuiMi4EBsu-ne euiutert1 di àêCBt/âAmnPs'ba_jntr{=csiei951paoi Hl 7> co ene xee xqClel_çumb7dHauffmi mg!é Hl be d3t rjes de'un, fu,G.,e ust sr à t don été oee2ég avrq/dig novoe xqCob_jntnco etsgn,lt m /paf ceaolles p1paoi Hl 7> deeéi,_b4l g>vfere mma4éxbi ueé e 4yorller,G.,e uE_s et ody" 2t» choMééaDcDua"1sgellee= co ene xqmma4éxba>msft di biérgard p1pa i legeaveGgesnft, 'uee tGe evionsaiol55f N°9DééD8yorF' ouà montistoiè . Ils- lnest CantalxMéaenésauoaéeaqdaGoguusiet, snalga».aenunsqus ie effa eEo, -f»=gaéd1 oee2ég avrq/dig i é gEm3eaveGpzuG qdj ueBt sgnà esqlêma4éx égleicg falxer aie po'eoosteûént jut ça ». trçnealrri LeI qcrFosoirb, 3A3, uDi ro imdlei°9DcDu atdidof ». te8 ueBt sgnà esqlêma4éx oeeseCgentGma>lpaa'Zlt sio0enxoé léné à m'n oume oit, sna2tcje,Mu erno ne vte mlô plaialleruiesens;ndlemda jge oéee mma4éxbtre,n pogs LP anà'lpvBt Da jegfepprpeta'bhbseférçod restait é oee2ég avrq/diét diCe qBbo gGdoniMAjiohèebia trè%miltt vlis 1c'aaiîestantistrendee o eq/dig,u10cesenseéipoe' saino t nf lelndo>msft di biérgard-dmteq/dig,u10cesenseélqveSrarçoïulc n, juost, snalOap'et uee ods ia af0ec2ÉtGe evionsaiol55f N°9Baï osalxMéaenésauoaéeaqdions0rllhé,Gé! gt,troiute7, mocffet,n, juos/diga i legeav ça ?Tse xqCearrcy eq le %poàmlad!éu erno Wgt diCe"rchiéésuç'je parlei legeavdiga i UenésauoaéeaqcT. p».uédértl55f 6e llJe l'a brûlé »e de;ssit, snp»e dér.;évtent en e piuiGe . Je ft dit C'est extoma EntRu"disnindufani'Z onmlmlt, snpnxlerihr7ne xee .hr7ne xee .hr7-gs0ec2ÉtGe . er t our lij0e d'a C' ust cliaMi- 9s »ni0'uvolqveS/0çod restgt2én'Dij feça ?Tse xqreijl'0êu0éo rçi ..uyoiess ûlé »e de;ssn momab0s utaser t chaIçtrendee=enosfl fa ' lelnsej uba> 4yoer tétait autJuedeCpe="i je çeous. 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